Voyage au Québec, samedi 24 septembre

Mme Thérèse a 83 ans, elle vient donner un coup de main à l'auberge quand il y a besoin. Elle trouve que le travail, çà conserve, qu'elle a de la chance de pouvoir faire encore çà, mais que c'est aussi une question de volonté. Là encore, belle leçon de vie !

Quelques maisons de l'Ile d'Orléans, avant de poursuivre sur le continent :

Bon, cette fois-ci, les grands espaces, les forêts, les lacs, tout çà est bel et bien terminé ! Il faut rendre la voiture à l'aéroport de Québec. Et il faut la rendre avec le réservoir le plus vide possible, car ils nous facturent un plein, quoi qu'il en soit. Oui mais vide... sans tomber en panne sèche pour autant ! Allez, on remet un peu d'essence pour y arriver sans encombre.

La voiture rendue, il faut prendre un taxi de l'aéroport à l'auberge de jeunesse, dans le Vieux Québec. Pas de bus pour joindre les deux. Ça sera 32,50 $ canadiens, hors service !!! Allez, on rajoute 15%.

Nous logeons à l'Auberge Internationale, rue Ste Ursule. L'accueil y est sympa. On a une chambre à 2, avec lits superposés.

On espérait plus que vivement qu'Anaïs et Cécile nous rejoindraient pour le week-end. Hélas, elles resteront sur Montréal. Dommage, on avait envie de partager encore de bons moments avec elles, et de les remercier encore mille fois du week-end à Montréal.

On erre dans le Vieux Québec... errer est le bon mot... Y a du monde partout, et surtout des touristes... et des immeubles... et des magasins... Mais où sont les érables jaunes et rouges ? Où sont les baleines ? Où sont les lacs ? Les forêts ? Il nous faut de longues heures d'adaptation...

On restera assises sur une place, où des personnes parlent de l'université québécoise qu'il faut sauver.

Et puis, et puis soudain, au détour d'une rue ! Je tombe quasi nez à nez avec une collègue de boulot ! Oui, de France ! Dingue ! Que le monde est petit !

On découvre une église reconvertie en bibliothèque. On y a accès à internet gratuitement.

Voilà, rien de spécial dans cette journée, à part ce couple qui nous a parlé sur un banc, car ils entendaient qu'on venait de France.

Allez, la suite demain...